La pandémie de coronavirus n‘est pas encore maîtrisée. Pourtant, une chose est déjà certaine: les plus pauvres auront été les plus touchés. Dans la riche Suisse, certains groupes de population passent à travers les mailles du filet social. Dans des villes comme Zurich ou Genève, des gens font la queue pour avoir un repas. L‘Assemblée de printemps de l‘Initiative des villes pour la politique sociale aborde la question sous trois angles différents. Tout d‘abord, sur le plan politique fédéral : quel rôle joue la Confédération pour empêcher des conséquences économiques et sociales gravissimes ? Ensuite, au niveau de l‘aide sociale: quel service offre l‘aide sociale pendant la pandémie et quels sont les constats à retenir pour anticiper et évoluer ? Et finalement, au-delà de l‘aide sociale: qui passe à travers les mailles du filet, quelles lacunes faut-il en déduire et que faut-il faire à présent ?

Notre discussion vise à sonder où se situent les défis techniques et politiques qui se posent aux villes pour parer aux conséquences sociales les plus dures liées à la crise sanitaire.

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